une de mes grande interrogation est la rareté voire l’inexistence de la répétition exacte du même mot, même si les traductions en code eva font apparaitre
plusieurs fois le même enchaînement, les mots-sources transcrits ne sont en fait jamais similaires dans la graphie… cela peut avoir plusieurs origines :
-une inclusion de la numérotation (1,2,3…n) : chaque mot contiendrait une information sur sa place et son ordre d’apparition
-une inclusion temporelle, la date peut être surcodée sur le mot… à réfléchir si cette datation est destinée à un(e) humain(e) ou une machine (à tisser ou autre)
-une inclusion de références qui serait alors dans le fil d’un autre livre (ca fait un peu sommaire de catalogue ikéa…)
-ou alors un système de références en lui-même, ce qui ne serait guère étonnant car l’ouvrage a quand même pas mal d’allures de dictionnaire…
et comme on le sait, dans un dictionnaire les mots sont organisés…
donc en plus du code du dessin, il se pourrait bien qu’il y ait encore un code d’organisation, mais je tiens toujours pour proche de la vérité
l’hypothèse de code de gamme de production très auto-similaire au dessin du verso.
une autre interrogation porte sur l’aspect puzzle et la manière dont pourraient s’emboiter ou se suivre les différentes planche , si au-dela
de la manifeste imbrication recto-verso, une ligne de cheminement existe, comme des coupes en lamelles pour microscope ou une recherche
de l’histoire des arts et métiers de l’époque, ou l’élaboration d’un élixir de vie ou toute autre quête légendaire…
Enfin, globalement, ca a de la parenté avec un “mode et travaux” pour effectuer un trousseau de mariage ou une collection de connaissances
scientifiques… l’un n’excluant pas systématiquement l’autre.